Peu après Conques, un pont roman - le Pont des Roumieux datant de 1410 - traverse le Dourdou.
Après le pont, l'ascension vers le plateau commence. A mi-hauteur, il y a une chapelle de sainte Foy. De nombreux pèlerins y sonnent la cloche pour faire un signe. Dans la chapelle, la sainte Foy, avec son épée beaucoup trop grosse, nous regarde d'un air interrogateur, un peu triste. Souffre-t-elle d'un sourire légèrement irrité ?
Après une courte montée, nous atteignons un haut plateau. Ici (photo ci-dessus), le chemin se divise. Le chemin principal va vers la droite. En 2006, nous avons pris le chemin de gauche qui mène à la via Decazeville.
Bientôt, nous pourrons profiter de vues magnifiques.
Le parcours officiel est un peu en descente via Noailhac (photo) et de là, le chemin de croix remonte jusqu'à la chapelle Saint Roch. Mais vous pouvez aussi rester au même niveau et simplement continuer à rouler.
Noailhac Chapelle Saint-Roch
Decazeville est une ville industrielle. Au Gîte d'étape Les Volets Bleus, nous avons été accueillis amicalement et avons pu prendre une douche.
À l'apéritif, nous nous sommes assis ensemble dans la bonne humeur et Serge, l'aubergiste, nous a montré son énorme col de pèlerin.
Nous avons apprécié un joyeux dîner.
Le train de nuit m'a amené à Paris à la Gare Austerlitz. De la gare de Lyon, j'ai pris le TGV pour retourner à Zurich.
Ce n'est qu'en 2011 que cela a continué !